Otages d’Arlit : ouverture d’une information judiciaire en France

Une information judiciaire a été ouverte au tribunal de Paris sur l’enlèvement au Niger des quatre otages français libérés mardi 29 octobre après trois ans de détention. Cette information judiciaire, confiée à des juges d’instruction du pôle antiterroriste, a été ouverte mardi pour enlèvement et séquestration en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste et mise en danger de la vie d’autrui, a précisé une source judiciaire. L’ouverture de cette enquête n’est pas liée à la libération des…

Les quatre otages enlevés au Niger libérés

C’est une libération, dans tous les sens du terme. Plus de mille jours après leur enlèvement, Thierry Dol, Marc Féret, Daniel Larribe et Pierre Legrand ont retrouvé la liberté, mardi 29 octobre. Cet heureux dénouement met fin à leur détention par les hommes d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) et au calvaire de leurs proches qui, pendant trois ans, ont tout imaginé, tout redouté. L’annonce officielle a été faite par le chef de l’Etat, François Hollande, dont l’entourage a assuré que la santé des otages…

De 2 à 4 ans de prison avec sursis pour les co-responsables de l’incendie de la rue Sadi-Carnot

Le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre a ouvert l’audience de ce mardi après-midi en rendant sa décision dans l’affaire de l’incendie de la rue Sadi-Carnot. Allant au-delà des réquisitions du procureur de la République, il a condamné le maire de Pointe-à-Pitre de l’époque, Henri Bangou, à 2 ans de prison avec sursis, le gérant du bazar chinois, Kaï li, et le propriétaire de l’immeuble, Henri de Kermadec, à 4 ans avec sursis et 30 000 euros d’amende. Durant deux jours, lundi 23 et mardi 24 septembre…

Georges Ibrahim Abdallah : ses défenseurs appellent à sa libération après 30 ans

Georges Ibrahim Abdallah a entamé, vendredi 25 octobre, sa trentième année de détention dans les prisons françaises. Une demi-vie derrière les barreaux qui fait de ce militant libanais pro-palestinien de 62 ans, condamné pour "complicité d’assassinats", "le plus vieux prisonnier politique d’Europe", selon les mots de son avocat, Jean-Louis Chalanset. Un prisonnier politique, Georges Ibrahim Abdallah ? De l’avis de l’ensemble des acteurs interrogés sur ce dossier, le destin de cet ancien combattant…

Mali : une opération militaire "pour éviter la résurgence" des islamistes

Après une attaque menée par des islamistes armés contre l’armée tchadienne dans le nord du Mali, une opération militaire de "grande ampleur" est en cours vendredi 25 octobre impliquant près de 1 500 soldats dont "plusieurs centaines" de soldats français, soit environ un "bataillon", selon le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l’état-major des armées françaises. Le reste des troupes est formé à part égale par les forces de l’armée malienne et celles de l’ONU. Tôt vendredi matin, depuis Bruxelles où il…

Attentat du Drakkar : qui a tué les paras français de Beyrouth en 1983 ?

Le dimanche 23 octobre 1983, aux petites heures du matin, un attentat visait l’immeuble Drakkar, à Beyrouth, tuant 58 parachutistes français et la famille libanaise du gardien. Ce jour meurtrier reste un traumatisme pour l’armée française. Trois décennies ont passé mais n’ont pu soulager la douleur des rescapés et le deuil des familles. Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, devait présider, mercredi 23 octobre, un hommage aux victimes dans les quartiers du 1er régiment de chasseurs…

Trente ans après l’attentat du Drakkar, les rescapés se sentent abandonnés

UN HOMME NE PLEURE PAS. Quand ils avaient 20 ans, quand ils étaient dans les paras, ils croyaient à cette baliverne. Ils avaient ravalé leur chagrin, cadenassé leur douleur, tu leur détresse. Aujourd’hui, ils en ont 50 et se foutent bien du qu’en-dira-t-on. Ils savent que cette pudeur virile n’a fait que les détruire un peu plus, les ronger au plus profond, année après année. Alors, ils pleurent désormais. Ils chialent comme les gosses qu’ils étaient encore, ce 23 octobre 1983, à Beyrouth, quand…

Il y a 30 ans, 58 paras français étaient tués dans l’explosion du Drakkar...

Il y a trente ans, le 23 octobre 1983, 58 parachutistes français de la Force multinationale d’interposition au Liban étaient tués dans l’explosion de l’immeuble Drakkar à Beyrouth, touché par un attentat à la bombe. Ce bilan meurtrier, le plus lourd en pertes humaines subies en un seul jour par l’armée française depuis la fin de la guerre d’Indochine en 1954, provoqua une immense émotion en France, rappelle l’AFP dans un reportage. À la hauteur de cette photo de ce parachutiste de vingt ans, le regard…

L’Espagne contrainte de relâcher une etarra

Tournant. En 2006, le Tribunal suprême à Madrid avait ratifié ce qu’on a baptisé la « doctrine Parot », du nom d’un prisonnier basque dont le cas avait fait jurisprudence. Pour simplifier, cette doctrine ne reconnaît pas les réductions de peine - obtenues grâce à la bonne conduite et aux travaux en prison - ni le plafonnement de la réclusion, et chaque personne condamnée doit payer pour chacun de ses crimes. Et tout cela peut s’appliquer de manière rétroactive. Ce tournant juridique avait bloqué les…

Attentat du Drakkar : 30 ans après, les rescapés témoignent

A l’époque, le Liban est en pleine guerre civile et les Nations unies ont mis en place une force de maintien de la paix, la Force Multinationale de sécurité à Beyrouth. Elle comprend des soldats britanniques, italiens, américains et surtout français, puisqu’ils sont 2 000 dans le pays. Ils doivent aider l’armée libanaise à restaurer l’autorité de son gouvernement. Les Français sont notamment installés dans un immeuble de 8 étages de la banlieue sud de Beyrouth, qui a été baptisé "le poste Drakkar", et le…

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