Le wagon 120 : piège mortel
Sept ans et demi d’instruction, vingt-quatre parties civiles et une kyrielle d’avocats, le procès en appel du drame du train « Paris — Munich » s’est ouvert hier, dans la salle d’assises de Nancy, réquisitionnée pour l’occasion, et se tiendra jusqu’à vendredi. L’an passé, en première instance, Volker Janz, le steward imprudent par lequel tout est arrivé, avait écopé d’un an avec sursis pour « blessures et homicides involontaires ». La SNCF et la Deutsche Bahn avaient été relaxées. Le parquet a fait appel,…