Deux ans avec sursis et 300 000 € d’amende requis
« A chaque étape de cet accident stupide dû à des fautes grossières, on pouvait facilement arrêter l’histoire si on avait pris en compte des obligations de prudence », estime M e Alain Behr, conseil d’une famille qui a perdu cinq de ses membres dans l’incendie de la voiture-lit du train Paris-Munich. Puis, en s’adressant à l’accompagnateur, il ajoute : « Vous avez déposé votre sac sur une plaque chauffante et vous n’avez pas réveillé les passagers. Mais vous n’êtes pas le seul fautif ». Il détaille alors…