Le 11 mars 2012, à travers la folie meurtrière d’un homme, le terrorisme frappait la France à l’intérieur de ses frontières pour la 1ère fois depuis 1996.

Au coeur de son territoire mais également aussi au coeur de la République puisqu’après avoir visé délibérément des militaires à Toulouse le 11 mars puis à Montauban le 15 mars, le terroriste s’en prendra à une école juive, tuant trois enfants et un de leurs professeurs.

Deux année après, la douleur est encore vive, les questions et les incompréhensions très présentes au coeur des vies brisées des rescapés et des proches des personnes décédées.

Dans cette perspective, la procédure judiciaire en cours devra faire la pleine lumière sur les responsabilités mais aussi les manquements éventuels.

Aux côtés des familles, la FENVAC s’engage tout spécialement pour que la solidarité nationale - via le Fonds de garantie - joue pleinement.